top of page

L'ABATTAGE RITUEL DE GORGE MASTROMAS

Durée : 1h30

À partir de 14 ans

Jeu

Philippe Bodet, Emmanuelle Briffaud, Gilles Gelgon, Frédéric Louineau, Arnaud Ménard.  

Collaboration artistique

Jean-Luc Beaujault

Scénographie

Tim Northam

Costumes

Anne-Emmanuelle Pradier 

Création lumière et Régie

Cyrille Guillochon

Accessoires

Angela Kornie

Construction du décor

Philippe Ragot

Production - Diffusion 

La fidèle idée - Tommy Poisson

Crédits Photographiques

Jean-Luc Beaujault

L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté.

De Denis Kelly / Traduction Gérard Watkins

Mise en scène Guillaume Gatteau

Une saga individuelle où la cruauté le dispute à l'humour, avec en résonance l'actuelle

incurie de l'organisation du monde et des puissants qui le dirigent.

Une pièce sans morale et sans justice, absolument... jouissive.

Gorge est entré dans la vie par la petite porte et a de suite trouvé place dans la grande monotonie universelle. Parents habituels, école commune, collège fadasse, émois banals. Et tout autour, Le Monde, avec des gens brillants, des amours possiblement incroyables, des avions pour tous les continents. Un monde facile, un monde de hyènes. Mais bon. Gorge est moral. Gorge fait le bien. Spectateur falot de son incapacité molle à choisir, il sent la joie se fendiller peu à peu en lui pour laisser place à une obscurité amère. Pourtant, un jour, le temps d’une seconde, Gorge va faire basculer sa vie en forçant son destin, pour la puissance et pour le pire. L’aboulie fera désormais place au mensonge, au sacrifice : il s’invente trois règles d’or pour ne plus jamais avoir à choisir, trois règles pour sauver sa peau.


A tout prix.

"La vie de Gorge Mastromas, telle qu’elle est racontée, montre un enfant banal, que le spectacle des injustices du monde et de sa violence va questionner, voire torturer, quand par une espèce de nihilisme contemporain, à savoir prendre tout ce qu’on peut (aux autres, à la planète...) tant qu’on peut, finira par s’enfoncer dans le mensonge pour, dit-il, sauver sa peau. Puisque ce monde appartient plus aux gens de pouvoir qu’aux gens de bien, être bon c’est fuir une forme de réalité. Ainsi, bonté ou lâcheté sont-elles les mêmes choses à ses yeux. Et comme il ne choisit pas entre les deux, il provoque une empathie tenace, l’espoir permanent d’une rédemption."

Remerciements :  La ville de Couëron et l’équipe du théâtre Boris Vian, le Grand T, le TU, la cie Non Nova, Sylvie Aubry, Jérémie Morizeau et Anthony Taillard

Accueils en résidence : Théâtre Boris Vian - Couëron, THV - Saint Barthélémy d’Anjou, Théâtre Quartier Libre - Ancenis

bottom of page